Led Zeppelin. La trame sonore des étés de ma jeunesse. Quand on était ado dans les années 1970 et qu’on passait les étés à rien faire. À chiller ou à véger, comme on dirait aujourd’hui. Pas de camp de jour. Pas d’activités planifiées pendant trois semaines de vacances avec papa maman ou en famille reconstituée. Réinventer la vie et refaire le monde chaque jour, sans plan ni idées préconçues.
Kashmir. Un goût de soleil, de chlore de piscine et d’été interminable. Un goût d’interdit et de découverte aussi. Un goût d’éternité et d’invicibilité surtout. Kashmir, c’était avant que la mort existe pour vrai. Quand elle n’existait qu’à la télévision. Quand on avait toute la vie devant soi et qu’on ne serait jamais vieux.
Enjoy!, comme disent les anglos.